La ville de Ho Chi Minh est considérée comme une mégapole hyperactive dont le rythme de vie est plus pressé que jamais. C’est pourquoi on cherche toujours des coins tranquilles pour s’échapper de la tension urbaine et on apprécie également des facettes anciennes qui sont vraiment rares au sein de la ville moderne. À Saigon, il existe 3 cafés de 50 ans qui nous permettent d’aller au contre-courant pour retrouver des qualités traditionnelles.
1. Café Chieu
La Découverte du sud du Vietnam est marquée par le parfum captivant du café dans les petites ruelles. Commençons par le café Hieu. Ayant vu le jour en 1969 au numéro 126 rue Ong Cao Thang, le café Chieu est censé symboliser la vivacité de la culture du café à Sai Gon.
Là, rien n’a changé, du vieux décor à la saveur traditionnel. C’est la raison pour laquelle il est bien apprécié par les clients. En temps moderne où les changements se mesurent par seconde, ça semble plus difficile à maintenir tout en état d’origine mais son espace au sein du rez-de-chaussée reste quasiment originaire, sans modification. Une seule expansion du premier étage a connu afin de répondre au nombre important du client. De plus, il s’agit d’une espace artistique où s’interprètent des chansons impressionnantes, de vielles mélodies qui obsèdent toute une génération.
Un menu fixé avec une liste musicale fixée, ce sont ses astuces pour fidéliser sa clientèle. La plupart entre eux y tient depuis ses premières journées, même eux, ils ont vieilli au fil du temps avec le café dans lequel les mélodies des chansons rejouées sont devenues la voix familière de ses murs.
2. Le café de l’enfer
Voudriez-vous avoir des découvertes insolites durant votre Voyage Vietnam ? Personne ne peut rester insensible devant ce nom assez étrange. En fait, ce n’est pas le propriétaire mais les clients fidèles qui accordent cette marque au petit café dans la ruelle 330 Phan Dinh Phung.
L’origine de ce café s’est initialisée par le guichet ambulant daté depuis 1950 du père de Monsieur Dang Ngoc Con, le propriétaire actuel du café de l’enfer. Il a continué ce petit commerce avec sa femme en l’aménagent au carrefour Phu Nhuan jusqu’aujourd’hui. Selon les couples, ils ne ferment jamais le café, même un jour, à cause des affaires chargées, ils avaient eu l’intention de le faire mais la queue de clients s’étendait sans cesse ne leur a pas permis.
Sa petite superficie ne lui fait défaut. C’est suffisant pour quelques chaises et tables en bois, l’espace en face de la maison a donc été profité pour déposer un range de chaises plastiques, ce qui rend toujours la ruelle animée.
Particulièrement, toute spécificité du café reste dans la recette secrète des propriétaires. Ils utilisent une raquette en tissu pour confectionner la saveur impressionnante de la boisson, sans oublier les 50 ans d’expérience de vrais professionnels en matière.
3. Café Cheo Leo
Ça semble que les qualités anciennes se trouvent toujours dans les petites ruelles sur lesquelles la cadence stressée de la vie urbaine ne peut pas porter des impacts.
Il y a 78 ans, en 1938 les habitants dans la rue Nguyen Thien Thuat a salué l’ouverture d’un nouveau café au numéro 109 dont le propriétaire était à l’origine de la famille royale, Monsieur Vinh Ngo. Il l’a laissé à sa troisième fille, Madame Nguyen Thi Suong, qui continue le commerce jusqu’à maintenant.
Sans une telle façade splendide ni décor bien soigné, seule la beauté écrue orné par le temps passé lui permet de retenir les pas des clients. D’autre part, il faut tenir compte de la façon dont on fait du café là. Pas par le filtre ou la raquette, le café y est mis et bouilli dans le four en terre qui rassure la chaleur de la boisson.